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Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

Une intervention sensible au lycée JBD. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

Un imposant dispositif policier pour passer l’établissement au peigne fin. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

Un imposant dispositif policier pour passer l’établissement au peigne fin. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

La police municipale a participé à l’opération et a encadré élèves, parents d’élèves et riverains. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

Le sous-préfet Emile Soumbo et Christophe Rivenq en discussion avec le proviseur de JBD. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

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Si la plupart des parents d’élèves ont compris les procédures de sécurité en vigueur, quelques-uns d’entre eux se sont montrés véhéments. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Fausse alerte intrusion mais vraie frayeur au lycée Jean-Baptiste-Dumas a Alès

Pour les parents, c’est le soulagement lors de la sortie de leur enfant. Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Une alerte intrusion, qui s’est avérée être un malentendu, a mobilisé les forces de police.

Ce n’était finalement qu’une fausse alerte. Ce lundi matin, un peu avant huit heures, une élève du lycée Jean-Baptiste-Dumas d’Alès, observe un individu qui remet un objet dans un étui. L’élève pense qu’il s’agit d’une arme et donne l’alerte. “C’est un bon réflexe malgré tout, commente un officier de police. Même s’il s’agit finalement d’une fausse alerte.”

Après vérifications, il s’avère qu’il n’y a pas eu ni intrusion dans le lycée, ni présence d’une arme. Un cadre de l’établissement, nouvellement affecté, a simplement remis un téléphone dans son étui, ce qui a déclenché un malentendu. Alimentée par les réseaux sociaux, une véritable psychose a gagné la ville. Les rumeurs les plus farfelues ont alors circulé avec la diffusion de vidéos déconnectées des évènements en cours.

Des parents sous tension

Dans l’établissement, les procédures ont été appliquées à la lettre. Les élèves ont été confinés dans les classes, pendant que les policiers, lourdement armés, procédaient à la fouille minutieuse de l’établissement.

Même si les policiers ont crié pour annoncer leur présence, certains professeurs ou élèves isolés ont quand même été choqués par la présence de ces hommes casqués et armés venus les secourir.

Une cellule psychologique est à la disposition des personnes qui en feraient la demande.

Vers 10 heures, la sirène d’alerte et le message attentat ou intrusion ont cessé. Le dispositif de sécurité a été levé. Les élèves ont pu sortir de l’établissement ou, au contraire, rentrer pour rejoindre la cantine. Les parents, inquiets, ont été soulagés lorsqu’ils ont récupéré leurs enfants. Les cours ont repris normalement ce mardi matin.

Finalement, c’est au collège Jean-Moulin qu’il y a eu le plus de tensions. Mal informé ou véhiculant les rumeurs les plus absurdes, un groupe de parents réclamait de manière véhémente la sortie immédiate de leurs enfants.

Là encore, un important dispositif policier s’est avéré nécessaire pour empêcher les parents de franchir les grilles pour récupérer de force leurs progénitures. Le directeur académique du Gard, les policiers nationaux et municipaux, et même le médiateur de la mairie, après force négociation, sont parvenus à calmer la vindicte des parents d’élèves. Le calme est revenu avec la sortie des enfants.

Par mesure de sécurité, un imposant dispositif policier déployé

Le commandant Bérangère Féral a dirigé l’important dispositif policier déployé à JBD. Les agents, lourdement armés et protégés, ont progressé dans les couloirs du lycée à la recherche d’un éventuel suspect.

Les fonctionnaires, essentiellement venus du commissariat d’Alès et renforcés par les effectifs de Nîmes et de la police municipale d’Alès, ont passé l’établissement de cinq hectares au peigne fin avant de donner l’autorisation de rouvrir les portes de l’établissement.

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Teilor Stone

By Teilor Stone

Teilor Stone has been a reporter on the news desk since 2013. Before that she wrote about young adolescence and family dynamics for Styles and was the legal affairs correspondent for the Metro desk. Before joining Thesaxon , Teilor Stone worked as a staff writer at the Village Voice and a freelancer for Newsday, The Wall Street Journal, GQ and Mirabella. To get in touch, contact me through my teilor@nizhtimes.com 1-800-268-7116