Le procès en appel se tiendra lundi 23 décembre à 14 h devant la cour à Montpellier. Midi Libre
Dans l’affaire des violences commises par quatre agents municipaux de la ville d’Agde, à l’entrée du camp naturiste, sur quatre victimes, le plus jeune des quatre prévenus, fils d’un proche de l’ancien maire, Gilles D'Ettore avait été placé en détention. Il a fait une demande de remise en liberté après son incarcération le 25 octobre, elle a été rejetée ce jeudi 19 décembre. Il sera rejugé en appel lundi 23 décembre.
200% Deposit Bonus up to €3,000 180% First Deposit Bonus up to $20,000Vendredi 25 octobre, quatre agents municipaux, en charge de la sécurité de l’entrée du camp naturiste du cap d’Agde, ont été condamnés à de la prison pour des faits de violences sur quatre victimes dont la dernière avait eu 45 jours d’ITT.
Un seul prévenu envoyé en détention
Le plus jeune des agents, 23 ans, avait été placé sous mandat de dépôt à l’issue de l’audience. Les trois autres prévenus, âgés de 23 à 61 ans et impliqués à des degrés divers, ont été condamnés à des peines allant d’un an de prison avec sursis à un an ferme, sans mandat de dépôt. Le seul détenu de ce dossier, arrivé à ce poste à responsabilités à la suite de son père, un très proche de Gilles d’Ettore, l’ancien maire d’Agde a fait appel de sa détention et ce jeudi 19 décembre, les magistrats l’ont maintenu derrière les barreaux, contre l’avis du représentant du ministère public.
Il sera jugé en appel, et sur le fond de ce dossier, ce lundi 23 décembre, devant la cour d’appel de Montpellier.
“Il paye très cher son geste, mais les motivations de sa condamnation de son pas habituelles. On va lui reprocher son attitude devant le tribunal, assure son avocat, Me Luc Abratkievicz. J’espère qu’en appel, on verra le dossier autrement.”
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