Un rassemblement, ce 11 janvier, devant le bureau de poste, synonyme de détermination. MIDI LIBRE – ALEXIS BETHUNE
Un rassemblement était organisé dans la matinée de ce samedi 11 janvier, devant l’établissement de ce quartier de la capitale des Cévennes.
200% Deposit Bonus up to €3,000 180% First Deposit Bonus up to $20,000Rassemblés devant le bureau de poste du quartier de Tamaris, à Alès, quelques conseillers municipaux d’opposition du Printemps alésien et autres riverains relèvent, en début de matinée de ce samedi 11 janvier, que l’établissement, qui, depuis quelques mois, était menacé de fermeture au 1er janvier, reste finalement ouvert. “Une première victoire !”, se félicite l’élu communiste Paul Planque, qui met ce constat sur le compte des “interventions multiples” de son groupe, de la mobilisation de la CGT et “de plus de 1 800 signataires sur une pétition”.
Une mesure dérogatoire toujours attendue
Pour autant, celui-ci lance aux personnes présentes devant lui que “le compte n’y est pas” et que “la vigilance doit rester de rigueur”. Car la rencontre avec le sous-préfet Émile Soumbo, survenue mi-décembre, n’a, pour l’heure, suscité “toujours aucune réponse de l’État”. Les partisans du maintien de la poste tamarisienne réclament, en effet, qu’une mesure dérogatoire lui soit appliquée pour qu’elle bénéficie des dispositions d’un Quartier politique de la ville (QPV), ce qui, comme ce fut rappelé lors du dernier conseil municipal, aurait pu appuyer sa pérennité au regard des besoins des habitants de Tamaris, des quartiers voisins, voire de ceux de Saint-Martin-de-Valgalgues.
L’espoir d’une “victoire définitive”
D’aucuns redoutent de se retrouver du jour au lendemain, sans en avoir été avertis, devant les portes closes de l’établissement. Paul Planque veut que la “première victoire se transforme en victoire définitive” et promet que “nous resterons déterminés et mobilisés pour que ce projet de fermeture soit définitivement enterré”.
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