Les stupéfiants et autres matériels saisis lors des perquisitions menées dans cette affaire, à Montpellier. – DIPN 34
Des surveillances et des investigations ont permis à la police nationale de mettre au jour ce trafic d’herbe et résine de cannabis, qui rayonnait dans plusieurs secteurs de l’Hérault et jusqu’à Nîmes. Deux personnes ont été interpellées.
Un chiffre d’affaires total évalué à 43 800 €, au rythme de 1 000 € par jour environ : c’est ce que générait cette activité de livraison de drogue à domicile démantelée par la police nationale à Montpellier. L’enquête de la brigade des stupéfiants et du service local de police judiciaire (SLPJ) a permis d’interpeller deux jeunes hommes de 25 ans, dans ce dossier où la marchandise était transportée dans un sac floqué “Uber Eats”, la célèbre plateforme de livraison de plats cuisinés.
200% Deposit Bonus up to €3,000 180% First Deposit Bonus up to $20,000Le 11 décembre dernier, les policiers suspectent une transaction rue Aventurin, dans le centre historique de Montpellier. Un individu est aperçu, entrant dans un immeuble proche. Puis, vers 17 h, c’est un autre jeune homme qui en sort, transportant le cabas “Uber Eats”. Il est interpellé. Dans le sac de livraison : 2,5 kg d’herbe de cannabis, et autant de résine.
La police pénètre ensuite dans un appartement du premier étage de l’immeuble, où se trouve la première personne qui avait été repérée. Celui-ci est porteur de pochons de quelques grammes de résine et d’herbe de cannabis. Dans le logement, on découvre des couteaux souillés de stupéfiants, du matériel de conditionnement, une balance et 1 200 € en liquide.
L’enquête se poursuit avec une perquisition au domicile du porteur du sac, à deux pas de là. Les fonctionnaires y trouvent des gilets pare-balles portant l’inscription “police”.
Dans un premier temps, le premier mis en cause nie toute implication dans le trafic. Il explique être logé gratuitement dans cet appartement. Puis, reconnaît garder les stupéfiants et effectuer quelques livraisons “pour dépanner”.
Le second avoue pour sa part avoir réalisé des transferts de marchandises contre une rémunération allant de 100 à 150 € par jour. L’enquête révèle que les ventes et les acheminements jusqu’aux clients s’appuyaient sur plusieurs réseaux sociaux et différents pseudonymes. Des livraisons qui rayonnaient bien au-delà de Montpellier, dans d’autres secteurs de l’Hérault, ainsi qu’à Nîmes.
Les deux personnes interpellées ont été déférées au parquet samedi 14 décembre, en vue d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.
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